Tout animal errant est sous la responsabilité du Maire : lorsque je trouve un animal, c’est lui que je dois contacter en premier.

Le Maire doit organiser la prise en charge des soins des animaux errants sur sa commune et afficher en permanence les coordonnées d’un service de prise en charge (ramassage, fourrière) pendant et en dehors des horaires d’ouverture au public (Art R211-12 du code rural).

Le vétérinaire peut me renseigner sur les services à joindre selon les cas et m’aider à retrouver le propriétaire d’un animal identifié. Si la mairie a passé une convention avec un vétérinaire, ce dernier pourra assurer la prise en charge, voire les soins d’urgence aux animaux errants. La prise en charge des animaux sauvages est assurée par le centre de soins à la faune sauvage le plus proche, qui vous indiquera éventuellement les vétérinaires conventionnés pour la prise en charge des soins urgents.

 

JE TROUVE UN ANIMAL DOMESTIQUE

Dans tous les cas, j’appelle la Mairie. La nuit ou un jour férié, j’appelle le service d’urgences de la Mairie. La Police Municipale ou les pompiers peuvent également intervenir.

Je peux joindre :

• La Mairie de Marcheprime au 05.57.71.18.70 
• Le service d’Urgences de la Mairie de Marcheprime au 06.30.52.56.46
• La Police Municipale au 05.57.71.50.77

Si l’animal est malade ou blessé, je peux être orienté vers un vétérinaire conventionné qui me fera remplir un formulaire de dépôt.

 

JE TROUVE UN ANIMAL SAUVAGE

Attention aux morsures et aux griffures ! Je ne manipule ni les chauves-souris (risque de transmission de la rage), ni les oisillons tombés du nid (les mettre seulement en hauteur à l’abri des prédateurs).

S’il s’agit de gibier, je préviens le Maire et l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (coordonnées disponibles auprès de la DDCSPP du département). Sinon, je préviens le centre de soins à la faune sauvage le plus proche, à savoir le centre de soins LPO du Domaine de Certes à Audenge au 05.56.26.20.52 ou au 06.28.01.39.48.

 

Source : Revue de l’Ordre des Vétérinaire n°47, juillet 2012